Du mal, de virulentes critiques.
Ils ont écrit pis que pendre sur son travail.
— Son frère est venu à l’hôtel pour vous parler… Il n’avait pas le temps d’attendre… Il m’a dit pis que pendre du mort… Du moins dans son esprit est-ce très grave : un fainéant… Deux passions : les femmes et la chasse… Plus la manie de faire des dettes et de jouer au grand seigneur…— (Georges Simenon, Le chien jaune, 1931, in Å’uvres complètes, tome II, éditions Rencontre, Lausanne, éd. 1967, p. 217)



















0 commentaire